Bar de la Relève - Marseille
Formule choisie:
Aïoli de cabillaud à 15€; baba au rhum à 6€ + 1 demi à 3,50€
Qualité/Prix: 3/4
Rien n'est à reprocher côté prix. Ici, pas de "chichis", ni de "superflus", les plats du jour, aux coûts oscillant de 10 à 15€, mettent en avant la simplicité d'une cuisine de bistrot et la rusticité d'une cuisine de grand-mère, quotidiennement renouvelées au gré des produits "dénichés" chez leurs fournisseurs finement sélectionnés. Point de radinerie non plus dans cette maison, la main y est généreuse dans les assiettes, allant même jusqu'au shot de rhum en accompagnement d'un baba déjà bien baptisé. Même si ce jour-là, il n'y avait pas de vin sur notre table, ils gardent néanmoins mon entière confiance quant à leur sélection très souvent synonyme de réussite.
Cadre/Décor/Service: 5/6
Diagonalement opposé à la pâtisserie Saint Victor, le lieu dispose d'une étroite terrasse, morceau de trottoir si rare et convoité dès le passage à l'heure d'été. Une fois la porte d'entrée passée, le magistral comptoir coiffé d'abat-jours d'un autre temps, s'impose comme pièce maîtresse. Lors de fortes affluences, il faut se faufiler jusqu'au passe-plat du fond pour y découvrir un petit espace à l'esprit "bistrot des années 50", retapé avec goût et surmonté d'une source de lumière filtrée par un amoncellement de bouteilles vertes. Long a été le temps pour voir débarquer sur notre table les premières assiettes, attente que je qualifierai de "faux départ" tant la gentillesse et la proximité des serveuses et serveurs transparaissent.
Cuisine: 7/10
Inutile de préciser que la patte du Café des Epices et celle de la Cave de Baille se retrouvent dans le concept de ce bar car Arnaud Carton de Grammont et Hugues Noël sont, en partie, les "refondeurs" de ce dernier. L'aïoli, légèrement épicé, sublime les différents légumes croquants où brocolis, carottes de toutes les couleurs, navets et oignons sont de la partie. L'"hémi-œuf", davantage mollet que dur (ce qui n'est pas pour me déplaire), me fait face tandis que le plantureux dos de cabillaud se cache sous sa peau dorée. En point final, délicatement accompagné d'une crème sucrée fouettée pour la touche de fraîcheur, le baba au rhum, à l'aspect sec et compact à première vue, se laisse fondre dans la bouche...
Note globale: 15/20
Aïoli de cabillaud à 15€; baba au rhum à 6€ + 1 demi à 3,50€
Qualité/Prix: 3/4
Rien n'est à reprocher côté prix. Ici, pas de "chichis", ni de "superflus", les plats du jour, aux coûts oscillant de 10 à 15€, mettent en avant la simplicité d'une cuisine de bistrot et la rusticité d'une cuisine de grand-mère, quotidiennement renouvelées au gré des produits "dénichés" chez leurs fournisseurs finement sélectionnés. Point de radinerie non plus dans cette maison, la main y est généreuse dans les assiettes, allant même jusqu'au shot de rhum en accompagnement d'un baba déjà bien baptisé. Même si ce jour-là, il n'y avait pas de vin sur notre table, ils gardent néanmoins mon entière confiance quant à leur sélection très souvent synonyme de réussite.
Cadre/Décor/Service: 5/6
Diagonalement opposé à la pâtisserie Saint Victor, le lieu dispose d'une étroite terrasse, morceau de trottoir si rare et convoité dès le passage à l'heure d'été. Une fois la porte d'entrée passée, le magistral comptoir coiffé d'abat-jours d'un autre temps, s'impose comme pièce maîtresse. Lors de fortes affluences, il faut se faufiler jusqu'au passe-plat du fond pour y découvrir un petit espace à l'esprit "bistrot des années 50", retapé avec goût et surmonté d'une source de lumière filtrée par un amoncellement de bouteilles vertes. Long a été le temps pour voir débarquer sur notre table les premières assiettes, attente que je qualifierai de "faux départ" tant la gentillesse et la proximité des serveuses et serveurs transparaissent.
Cuisine: 7/10
Inutile de préciser que la patte du Café des Epices et celle de la Cave de Baille se retrouvent dans le concept de ce bar car Arnaud Carton de Grammont et Hugues Noël sont, en partie, les "refondeurs" de ce dernier. L'aïoli, légèrement épicé, sublime les différents légumes croquants où brocolis, carottes de toutes les couleurs, navets et oignons sont de la partie. L'"hémi-œuf", davantage mollet que dur (ce qui n'est pas pour me déplaire), me fait face tandis que le plantureux dos de cabillaud se cache sous sa peau dorée. En point final, délicatement accompagné d'une crème sucrée fouettée pour la touche de fraîcheur, le baba au rhum, à l'aspect sec et compact à première vue, se laisse fondre dans la bouche...
Note globale: 15/20
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